Parmi tous les systèmes de paiement de stationnement payant à durée limitée, les horodateurs sont les plus courants. Leur fonctionnement est assez basique :
L’horodateur vous délivre ensuite un ticket de stationnement précisant la date de l’heure limite jusqu’auxquelles vous avez le droit de stationner. Vous devez ensuite positionner ce ticket bien en évidence derrière votre pare-brise avant, côté trottoir.
Ce ticket permettra aux forces de l’ordre de vérifier que vous avez bien payé votre stationnement et respectez la durée pour laquelle vous avez réglé. Il peut également comporter d’autres informations :
Lorsque vous atteignez la limite de temps pour laquelle vous avez payé votre stationnement, vous pouvez soit racheter un ticket, soit quitter l’emplacement et déplacer votre véhicule. En cas de non-paiement ou d’oubli, vous pouvez recevoir un forfait post-stationnement et un enlèvement du véhicule.
Une zone ou rue où le stationnement est payant est indiquée aux usagers par plusieurs éléments :
Voici les 3 panneaux vous indiquant la présence d’horodateurs :
Il ne faut pas confondre les horodateurs et les parcmètres. Bien qu’ils servent tous deux à contrôler le stationnement des usagers et à payer son parking, ils fonctionnent différemment.
En effet, un parcmètre ne régit le paiement que d’une ou deux places de stationnement maximum, tandis qu’un horodateur peut servir à davantage d’emplacements.
Sachez qu’il existe d’autres moyens de paiement que les horodateurs et parcmètres pour régler votre stationnement. Aujourd’hui, il existe diverses applications mobiles : PayByPhone, Flowbird, Easypark, Indigo Neo… Elles nécessitent de créer un compte et de préciser votre durée de stationnement et votre numéro d’immatriculation.
À l’avenir, le paiement par téléphone directement à l’horodateur via la technologie NFC pourrait également se répandre.