Alors qu’aujourd’hui, le moteur le plus utilisé est le diesel ou l’essence, dans les années 1900, 38% du marché automobile américain était composé de voitures électriques. Pour rappel, en 2020, la part de marché des voitures électriques aux Etats-Unis était de 1,2%. Ce chiffre est assez étonnant alors que la fameuse marque américaine Tesla ne cesse de pulvériser son record de vente de voitures électriques.
A l’époque, elles sont facilement utilisables et en démarrant elles évitent les gros nuages noirs irrespirables ce qui est un gros avantage. Ces voitures étaient inventées de manière à ce qu’elles puissent se recharger. On ne parlait pas de borne de recharge, mais de colonne de charge pour automobile électrique. Pour recharger ses accumulateurs, l'utilisateur doit mettre un jeton dans le compteur, fermer les coupe-circuits intérieurs, l'interrupteur bipolaire et choisir avec le commutateur du rhéostat l'intensité de charge (de 25 à 80 A) à fournir à la batterie.
Les années 1920 sont très innovatrices, c’est la sortie de la guerre et il faut inventer et créer de nouveaux moyens de transport. Alors que le thermique fait son apparition en 1908, il n’est pas assez abouti contrairement à la voiture électrique. Malgré l'invention en 1910 par Edison de la batterie Fer-Nickel, la voiture électrique cède face aux innovations de Ford : la production à la chaîne abaisse les coûts de production et le démarreur électrique de Charles Kettering augmente considérablement le confort des véhicules thermiques.
Le thermique finit par être le véhicule le plus utilisé. Ce nouveau type de modèle est moins cher que la voiture électrique, l’autonomie est plus importante et la voiture thermique reste plus légère. La voiture électrique commence à disparaître dans l’histoire pour faire face aux nouvelles inventions dont la voiture thermique.
En 1973 et avec la guerre du golf, le prix du baril de pétrole explose et le coût de l’essence augmente fortement pour tous les ménages. De nouvelles discussions s’ouvrent quant à la voiture électrique dont la principale problématique reste l’autonomie. De plus, une conscience concernant le respect de la planète émerge.
On recherche donc des alternatives aux solutions existantes qui sont très polluantes. Des prototypes sont créés et commercialisés, dont la CityCar en 1974 aux États Unis, qui atteint les 48 km/h et les 64 km d'autonomie. En parallèle de cette commercialisation, le prix du pétrole baisse et revient à son prix d'origine, de ce fait les ventes de voitures électriques stagnent pour faire finalement faillite.
Dans les années, aux Etats-Unis il est imposé aux constructeurs automobiles de vendre des véhicules à zéro émission aussi appelées ZEV. 2% des ventes des constructeurs doivent être des véhicules à zéro émission. C’est dans ce mouvement que General Motors sort l'EV1. Les 2% du ZEV passe à 5% en 2001 et 10% en 2003. D'autres régions suivent le même mouvement.
En France, la Zoom fut développée par Renault, première voiture électrique du marché depuis bien longtemps. La France voulait que 5% de sa flotte de véhicules soit composée de modèles électriques. De nombreux autres modèles font leur apparition comme la Next, la Citroën AX électrique, et la Clio électrique.
Cette montée en puissance de l’électrique fait penser que la vente de véhicules électriques va croître, mais ce ne fut pas le cas. C’est un nouvel échec. Parallèlement Elon Musk croit en l’électrique et c’est ainsi que dans les années 2000 il fonde Tesla en parallèle de Space X. La première Tesla sort en 2008 et c’est un succès !
Depuis les années 2010, les constructeurs automobiles relancent la voiture électrique avec de meilleures performances (autonomie, vitesse, prix, etc).
En parallèle les gouvernements ont conscience de l’enjeu écologique qu’il y a derrière et que pour motiver les automobilistes à acheter une voiture électrique plus qu’un diesel il faut développer le réseau de bornes de recharge.
Le mouvement s’intensifie puisqu’en France sur l’année 2020 uniquement, ce sont presque 110 000 voitures électriques qui ont été vendues. Au premier trimestre 2021, ce sont 30 000 voitures électriques qui ont été mises en circulation.
La tendance à l’électrique s’intensifie et c’est notamment grâce aux aides à l’achat qui permettent aux Français d’investir et de changer de voiture. De même, le gouvernement a promis que 110 000 bornes de recharges publiques seront installées. On sait qu’il s’agissait d’un frein jusque là pour les consommateurs, car le manque de solution de recharge est important. A la fin de l’année 2020, on comptait 1 borne de recharge pour 10 voitures électriques. L’enjeu des bornes de recharge est donc important et crucial.
90 % des recharges se font à domicile selon l’avère. Pour autant de nombreux citadins vivent dans des résidences sans parkings ou dans des immeubles où il n’existe pas de possibilité d’installer une borne de recharge malgré un droit à la prise de plus précisé par les textes réglementaires. Yespark vous propose de louer une place de parking avec une borne de recharge déjà installée sur votre place. Cette solution 2 en 1 vous permet de stationner facilement et 24h/24 sur une place privée attitrée. Vous disposez également d’un forfait pour la recharge de votre véhicule.
L’abonnement est mensuel et sans engagement. L’ouverture du parking se fait directement depuis l’application Yespark. Un conseiller vous accompagnera dans vos démarches pour trouver la borne adaptée à votre besoin, à votre voiture et à votre consommation électrique. N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez une borne de recharge.